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Première victoire pour Thibault Journiac

Ayant décroché sa licence lors du stage de la mi-septembre 2019 (Promotion Stephan Kalley), alors âgé de 17 ans, Thibault Journiac retiendra tout particulièrement la date du 27 septembre 2020, désignant sa toute première victoire, acquise sur le steeple du Touquet, pour sa douzième apparition publique sous la casaque, plat et obstacles confondus : un premier succès qui aura donc correspondu à sa troisième tentative dans la discipline de l’obstacle – les deux précédentes l’ayant d’emblée confronté aux difficiles cross-countries de Ploërmel et du Pertre.

La Promotion Stephan Kalley enregistre son second GR vainqueur sur les obstacles, après le très remarqué Théo Dumouch, et se prévaut de conforter la génération montante, prompte à se faire un nom sur le terrain d’élection des top-Gentlemen et Cavalières actuels dans la discipline.

De fait, se faire un prénom prévaut chez les Journiac , comme Thibault Journiac est fils du bien connu entraîneur Pascal Journiac, frère aîné de Thomas (qui vient de passer son examen de licence), ainsi que cousin d’Hugo Journiac, prometteur jeune jockey, à la Une cet été à Deauville pour y avoir remporté sa première victoire de Groupe.

Etudiant en Bac Pro (construction-architecture), Thibault Journiac avait conforté sa demande de première licence des lettres de recommandation de Nicolas Landon (ex-GR, ayant assumé les responsabilités de vice-Président du Club des Gentlemen-Riders et des Cavalières, mais aussi celles de vice-Président de France Galop) et du très respecté top-Gentleman-Rider Maxime Denuault, Eperon d’Or de la Fégentri, entre autres multiples distinctions – enviables parrainages, assurément...

Appelé à piloter la 5 ans Osaxa (elle aussi « maiden » jusque-là), il a ainsi contribué à la première victoire de la pensionnaire de Patricia Butel, pour sa 20ème sortie, en laissant son camarade Léo-Paul Bréchet à 3 longueurs. C’est grâce au conseil de Guillaume Viel que Mme Butel s’est adressée à Thibault Journiac, dès lors que ledit Guillaume Viel, engagé pour monter en plat à Tours (en l’occurrence, pour s’y imposer pour l’entraînement de son père…), avait dû décliner l’offre. « Echanges de bons procédés », dira-t-on ; « on n’a que ce qu’on mérite », ajoutera l’écho…



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